Le solitaire du Figaro

Le placard a horreur du vide
Le texte qui suit n’est qu’une oeuvre de friction. Rien de ce qui est écrit ne peut ressembler de près ou de loin à ce que pourrait vivre un dessinateur au sein d’un journal.
C’était un après-midi pluvieux, et lui était plus jeune. C’était déjà il y a quelques mois, le rendez-vous était fixé vers 16 heures. Depuis bientôt deux ans la porte du placard dans lequel il se débattait se refermait peu à peu, et la perspective d’un tête à tête avec son directeur de la rédaction n’engageait pas à l’optimisme.
“Assieds-toi, je veux que tu t’en ailles… Tu n’as pas de talent, tu n’as pas d’ idées et tu ne sais pas dessiner”.C’était un vrai compliment d’abject direct et placé après il était de toute évidence certain que les deux parties ne pouvaient s’accorder.
Le texte qui suit n’est qu’une oeuvre de friction. Rien de ce qui est écrit ne peut ressembler de près ou de loin à ce que pourrait vivre un dessinateur au sein d’un journal.
C’était un après-midi pluvieux, et lui était plus jeune. C’était déjà il y a quelques mois, le rendez-vous était fixé vers 16 heures. Depuis bientôt deux ans la porte du placard dans lequel il se débattait se refermait peu à peu, et la perspective d’un tête à tête avec son directeur de la rédaction n’engageait pas à l’optimisme.
“Assieds-toi, je veux que tu t’en ailles… Tu n’as pas de talent, tu n’as pas d’ idées et tu ne sais pas dessiner”.C’était un vrai compliment d’abject direct et placé après il était de toute évidence certain que les deux parties ne pouvaient s’accorder.
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